Retour à la cité des monstres, format numérique (Kindle)
La réponse est à la fin de cet article. Grand amateur de polars devant l'éternel, et tout particulièrement du genre hardboiled, admirateur d'auteurs (dans le sens large) sévèrement burnés tels que Frédéric Dard, Tarantino, Dan Simmons, Frank Miller, Jerry Stahl, ou Marc Lévy (sauras tu retrouver l'intrus qui se cache dans cette liste ?), je me suis réveillé un après-midi (oui, je me réveille l'après-midi) avec l'ambition, non pas de gagner de l'argent, mais simplement d'enfin arriver au bout de l'écriture d'un roman, après de multiples brouillons et romans avortés à leur troisième mois de gestation. Je me suis donc rivé à mon ordinateur entre deux et quatre heures par jour avec une rigueur de spartiate, et voici qu'un an plus tard j'accouchais dans la douleur de mon premier roman : Retour à la cité des monstres. Je t'en livre le pitch :
Après sept années passées à sillonner les routes à bord de son van poussif et à traquer sans relâche la femme aux dents en or, qu'il accuse d'être à l'origine de tous ses malheurs, Eddie Sykes croit enfin tenir sa vengeance. Et quel meilleur endroit pour clore la douloureuse et sinistre histoire qui est la sienne que là où tout a commencé ? Corvette, la cité des monstres.
Pourtant, à peine de retour dans le cloaque qui l'a vu naître, Eddie manque une nouvelle occasion de boucler son clapet ; il fait la promesse à la mère de sa fiancée défunte de retrouver sa fille cadette, disparue sans laisser de traces. Autant chercher une tique sur le dos d'un ours...
Pour parvenir à tenir son engagement, Eddie devra replonger dans les entrailles putrides de la cité, la fange où évoluent les monstres et les prédateurs de la pire espèce. Et quand on a causé autant de morts dans sa ville natale que le tabac, on compte plus facilement ses amis que ses ennemis. Mais pour l'assister, Eddie pourra compter sur deux alliés de choix : son fidèle Glock et Yaba Guédé, le dieu vaudou qui la nuit veille sur lui.
Et voici venu l'instant où je dois te révéler la meilleure utilisation possible d'une pièce de trois euros.
En plus tu fais une bonne action : tu m'enrichis. C'est pas déductible des impôts, ni remboursé par la sécurité sociale, mais ça devrait.